On a tous un pote dont on aimerait pourvoir se taper la mère. Dans mon cas, je n’aurai jamais cru qu’elle serait aussi chaude et que tout se passerait dans sa voiture.
Avouons-le, on a tous un pote dont la mère est fantastique. Disons-le clairement, elle nous fait bander comme un porc, qu’elle soit sympathique ou non.
C’est également mon cas. C’est la mère d’un pote dont je ne suis pas nécessairement très proche. Je n’irai pas jusqu’à dire que je reste ami avec lui juste pour voir sa mère et dans l’espoir d’en voir un peu plus. Non. Mais ça doit forcément jouer un petit peu.
L’autre jour je suis allé mangé chez lui, ça faisait un bail qu’on ne s’était pas vu et ça nous a permis de rattraper le temps perdu autour d’une bonne bouffe bien arrosée à tel point qu’on en a pas vu l’heure et que sa mère rentrant du boulot me fit réaliser qu’il était tard mais qu’en plus, je n’aurais probablement pas de bus avant un heure d’attente pour rentrer à mon appartement. C’est donc tout gentillement qu’Alain, mon pote, me proposa de rester dîner. « Tant qu’à faire, plutôt que d’attendre un bus dans le froid, attend donc au chaud. »
« Oui et puis je pourrai te ramener si tu veux, je sors ce soir et c’est sur mon chemin », me proposa Sylvia.
D’ordinaire, je n’accepte pas ce genre de proposition. Je n’aime pas m’imposer plus que de raison et je n’aime pas me sentir dépendant des autres. Mais pour le coup, je n’en avais rien à faire. Pouvoir passer un peu de temps à mater dans le décolleté bien fourni de Sylvia était une raison bien suffisante pour moi.
Le repas se déroula correctement et c’est en ayant bien mangé que je quittai Alain pour m’embarquer avec sa mère pour un petit voyage. Nous parlâmes de tout et de rien, je zieutais sa poitrine et ses cuisses qu’une jupe assez courte découvrait plus que cachait, de même que le haut de ses bas. Je ne vous cache pas que mon pantalon était étroit.
C’est peut-être d’ailleurs parce que je passais plus de temps à la regarder elle qu’à regarder où on allait que lorsqu’elle s’arrêta je fut surpris de ne pas être chez moi, mais dans un parking plus que désert.
– Ne fait pas ton aire surpris mon mignon, dit-elle en posant sa main sur ma cuisse. Ce n’est pas comme si je ne t’avais pas vu me reluquer avec insistance.
C’était un rêve devenu réalité. Combien de fois m’étais-je branlé en espérant qu’un truc pareil arrive ? Et pourtant je cherchai à m’enfuir. Mais les portes étaient fermées à clé. Sans trop réfléchir j’ai pensé que ma seule échappatoire serait de passer sur la banquette arrière, mais cela ne changea rien.
Elle ne me poursuivit pas. Elle resta sur son siège et enleva juste sa veste et ses chaussures.
– Je te propose un truc. Reste où tu es et mates. Je ne te forcerais pas à venir.
J’étais tout à la fois excité et effrayé. Aussi je restais au milieu de la banquette en étant totalement sidéré par ce qu’elle faisait.
Elle venait de baver sur le levier de vitesse et s’était mise ensuite à le lécher et le sucer comme elle l’aurait fait avec une queue. Elle réussit à engloutir le pommeau dans sa bouche et elle fit des vas et viens dessus, bavant en quantité.
– Tu aimes ? Tu aimes me voir sucer ce levier ? Je suis sûre que tu préférerais que ce soit ta queue. T’as bien raison, ça ferait chavirer ton monde. Mais tu n’as pas tout vu, regarde tout le bien que je peux te faire.
Elle se plaça au dessus du levier, relava sa jupe et écarta son string qui ne cachait pas grand chose. Elle me montra sa chatte déjà bien trempée et écarta les lèvres. Doucement, elle s’assit sur levier. Jouant d’abord avec le pommeau, elle faisait rentrer le levier progressivement.
– Regarde ça. J’aimerai tellement que ce soit ta queue. Ta queue bien dure. Oh oui ! OUI !
Elle débouta son chemisier, lentement, alors qu’elle chevauchait le levier à rythme déjà soutenu. Ce fut le tour du soutien-gorge qui découvrit une paire de nibards grandiose aux tétons énormes et pointant déjà d’excitation. Elle se les prit en main, se les malaxa avec violence, prenait les tétons en bouche et se les mordait.
– Allez !!! Tu les veux mes grosses loches. Tu la veux ma grosse chatte !! Qu’est-ce qu’il faut pour que tu te lance ??? Hein ?? Je suis sûr que t’as envie de te branler là, que tu bandes comme un porc. Vas-y, sors ta queue et montres-là moi.
Elle prit son soutif et essuya un peu de sa mouille pour ensuite me le jeter au visage. Ce fut le déclencheur pour moi. Je me réveillai enfin et attrapai le soutif pour le sentir et le lécher. Lui obéissant, je sortis ma queue qui me faisait souffrir et commençai à me masturber doucement après m’être complètement désapé.
– Va falloir m’en montrer plus si tu veux que je te prennes, dis-je à Sylvia qui, pour toute réponse, arrêta sa cavalcade et se retira du levier.
– Mais j’en ai encore en réserve mon grand. Et un anus bien entrainé.
Joignant le geste à la parole, elle écarta ses fesses et présenta sa rondelle la tête du levier. Son poids seul suffisait à la faire s’empaler sur le manche. La bouche grande ouverte et poussant un cri sourd, je me branlais comme un dingue. Quand elle fut assez loin, elle s’arrêta pour reprendre son mouvement de vas-et-vient et hurler de plaisir comme une damnée. De son con coulait une quantité phénoménale de mouille qu’elle éclaboussait un peu partout en se doigtant allégrement.
De mon côté, je commençais à respirer très fort, je n’allais pas tarder à venir aussi me levais-je, de la meilleur manière que l’on puisse le faire dans un espace restreint, pour me rapprocher d’elle et lui cracher ma sauce sur le corps. Vidé, je m’affalais sur la banquette alors qu’elle recueillais mon sperme et le goutait avec un réel plaisir.
– Mmmm mon cochon. Mais ne crois pas t’en tirer comme ça. Je te veux, alors remets-toi à bander rapidement.
D’un coup, sans prévenir, elle se retira du levier de vitesse pour empaler sa chatte sur le frein à main, bien dressé devant elle.
-Oh ouais !!! J’adore ça !!! Tu faisais ton malin hein mais t’as vu comment je suis. T’as le droit de le dire je suis une putain de cinglée !! Une putain tout court d’ailleurs. Une sale pute qui veut de la queue. Je veux ta queue mon salaud. Laisse-moi juste le temps de lubrifier ce gode pour me le mettre dans le cul et et tu viens me défoncer après.
Elle était en effet bien malade et, si ma queue était rapidement redevenue aussi dure que son frein à main/godemichet, j’avais un peu peur d’essayer de la baiser. Je n’avais pas tellement le choix non plus, et puis je la voulais, tout mon corps la voulait.
Le frein à main qui rentrait dans son cul fut le signal pour que je viennes sur elle. Je me jetais sur ses nibards pour les prendre en bouche.
– Oh !!! Je savais que tu les aimais, prends-moi pour ta mère si tu veux et tètes-moi comme le petit bébé que tu es, mais prend moi le con en même temps putain !!!! Vas-y, mets-moi ta trique.
J’obtempérais. Sentir le frein au travers de se chair me rendis encore plus dure.
La bourrant aussi fort que possible, lui pétrissant les seins comme un boulanger et faisant en sorte de ne pas trop peser sur elle du fait qu’elle était en équilibre assez précaire entre le tableau de bord et le frein à main, c’était le vrai pied. Elle gueulait comme une dingue et m’agrippait les fesses, ce qui m’excitait encore plus.
Alors, doucement, elle aventura un doigt à l’entrée de mon trou de balle. Voyant que je ne disais rien, elle l’aventura un peu plus loin, puis l’enfonça carrément pour en rajouter un autre, puis deux.
– Oh mon salaud !! T’es un sacré pervers. T’aimes qu’on te foute des doigts dans le cul. Quand je remue comme ça, ça t’excite, je le sens. Tu veux pas quelque chose de plus gros que des doigts dans ton cul ?
Elle avait retiré ma tête des sa poitrine pour que je la regarde.
– Si. Je le lis dans ton regard. Aller pousses-toi.
Elle me rejeta sur la banquette et se retira du frein à main pour venir me rejoindre. Elle me prit la verge en main un petit moment, tout en me roulant un galoche bien baveuse puis me dirigea vers l’avant et vers le frein à main. Je me laissais faire, me laissais guider. Je n’avais jamais rien eux d’autre dans le cul que des doigts. Là c’était autre chose.
Doucement je laissais la queue improvisée envahir mon rectum. J’étais envahi d’une sensation toute nouvelle et indescriptible. Je bandais encore plus jusqu’au moment où j’éjaculai d’un coup sans avoir eu besoin d’autre chose que de commencer à bouger sur le frein.
Dans un grand sourire Sylvia lécha tout le jus tombé sur mon corps.
– Et tu ne débande même pas en plus. Une vrai machine. Un rêve.
Elle me prit alors en bouche et commença une fellation grandiose alors qu’elle m’encourageait des mains à continuer de bouger sur le gourdin. Elle vint m’embrasser, me faisant goûter à mon sperme dont elle avait recueilli quelques gouttes tombées sur mon torse, au passage. Et puis ma queue se retrouva dans son cul. Je la laissais faire. Elle bougeait comme une déesse, ses seins sautant de manière énergique et envoutante. Il ne fallut pas longtemps cette fois-ci pour cracher ma semence. Bien profond dans le cul de la mère de mon pote. Mais elle continua, elle n’avait toujours pas jouit et voulait, elle aussi, finir en beauté. Cela ne tarda pas. Elle gueula encore plus fort et écarta bien les lèvres de son minou afin de laisser sa mouille s’éjecter sur mon corps.
Elle s’affala sur moi, me caressant, jouant avec mes tétons.
– J’en ai pas fini avec toi. On va rentrer chez toi maintenant, histoire de récupérer. Et puis on va s’amuser. J’ai bien fait d’amener des jouets.
Proposée par Stycx