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Le jeu des Douze (1) – Règles du jeu

Paul s’en va rejoindre sa maîtresse qui va lui proposer un jeu de son cru un peu particulier. Un jeu où il a tout gagner, mais aussi tout à perdre.

Cette série fait donc suite à Une femme délaissée qui en constituait le prologue. Comme vous le verrez ce n’est pas la suite directe. Simplement, en l’écrivant je m’étais dit que raconter leur rencontre serait plutôt pas mal. Voilà J’espère que ça vous plaira, n’hésitez pas à commenter et noter.

Fier de lui, le sentiment du travail accompli, Paul expédia son dernier compte-rendu par mail à son professeur. C’était le dernier qu’il avait à rendre et, assuré de la validation de son année sans forcer pour les partiels il allait pouvoir ralentir le rythme et sortir bien plus souvent.
A peine venait-il d’envoyer le mail, que son téléphone sonna. Un message de Stéphanie : « Gilles et sa mère sont partis avec Amanda pour la semaine. Bien-sûr, la vielle pie a réussi a faire en sorte que je ne vienne pas. Pas de mari ni de fille et encore moins de belle-mère. Tu viens ?? »
« 1 Douch & jariv » répondis Paul qui reçut très rapidement comme réponse « Tu la prendra avec moi. »
Paul se changea tout de même et s’en alla pour chez sa maitresse qui n’habitait qu’à une vingtaine de minutes à pied. C’était d’ailleurs ainsi qu’il l’avait rencontré. En se baladant, un peu plus d’une année auparavant, il avait croisé la route d’une femme enceinte et chargée comme une mule de courses. Il l’avait aidé, ils avaient discuté et s’étaient appréciés.
Enceinte ou pas où elle avait des besoins et Paul avait été là pour y répondre, fréquemment. Après son accouchement également, même si les choses étaient devenues plus compliquées. Non pas parce qu’elle avait un enfant mais parce que sa belle-mère avait décidé de s’installer chez elle pour l’aider, selon elle, à s’occuper de sa petite-fille. Ce qui voulait dire la critiquer dans tout ce qu’elle faisait et lui voler son rôle de mère. Avec un mari qui ne la supportait pas et ne semblait même plus savoir qu’elle existait, c’était peine perdu de se battre.
Elle avait donc préféré chercher à s’amuser. Pourtant, les derniers mois s’étaient surtout résumés à des rencontres rapides et frustrantes entre Stéphanie et Paul, la belle-mère semblait être partout.

Paul sonna pour la prévenir et rentra. Elle était là, à l’attendre, souriante. Elle portait une robe bleue qui lui tenait au corps juste parce qu’elle était extrêmement moulante. Très courte, le simple fait de marcher la remontait pour découvrir sa chatte et le bas de son cul. Les tétons de ses seins plus que généreux pointaient aux travers du tissu.
Paul se rendit compte que ses cuisses brillaient.
« Tu as commencé sans moi à ce que je vois.
« Je t’ai attendu comme j’ai pu bébé. Maintenant, plutôt que de rester en plein milieu de l’entrée, viens-donc me baiser. »
Paul s’approcha et se saisit d’elle rapidement, il lui fourra sa langue dans la bouche alors qu’elle était déjà en train de défaire son pantalon. Paul lui pressa alors sur les épaules afin qu’elle s’agenouille. Stéphanie avait tellement faim de sa queue qu’elle la goba d’un coup et se l’enfonça jusqu’au fond de la gorge. Quant elle n’arriva plus à respirer, elle la retira en toussant une quantité abondante de bave sur sa queue.
Gluante comme elle était, dure comme elle était, il n’y avait pas besoin de la lubrifier plus. Aussi, Paul poussa violemment Stéph au sol, lui écarta les jambes et l’empala d’un coup sec. Elle cria de surprise mais rapidement se mit à gémir de contentement. Il la pilonnait comme un dingue mais n’arrivait pas à libérer ses nibards. Sa robe était tellement serrée qu’on ne pouvait la retirer qu’en défaisant la fermeture éclair dans le dos.
Paul n’avait pas envie de la retourner tout de suite. Il tira et déchira la robe pour libérer la poitrine de son amante, il se jeta ensuite dessus pour les malaxer avec force et les sucer avec démence. Il passait de l’un à l’autre en laissant de longues trainées de bave. Stéphanie avait passé ses jambes autour de lui pour bien le maintenir près de sa chatte alors qu’il avait relevé son cul afin de se planter en elle à la verticale et de peser de tout son poids sur elle.
Entre deux cris Stéph réussit à hurler : « Mors-moi !! Vas-y !!! C’est bon !!! Mors-moi jusqu’au sang !!!! »
Paul s’exécuta, il avait appris avec le temps qu’il ne valait mieux pas la frustrer. Il lui prit le téton et mordit juste au bord de l’aréole. Plus il mordait fort, plus il sentait au travers de sa chemise ses ongles se planter dans son dos. Elle n’allait pas tarder à jouir, il le sentait. Il sentait également le gout de sang envahir sa bouche. La douleur l’excitait, elle se trémoussait et gueulait comme une dingue. Lui aussi, la douleur que lui procurait les ongles plantés dans son dos, et qui étaient probablement passés à travers le tissu, amplifiait son plaisir. Il était au bord de la jouissance, il ne lui manquait pas grand-chose.
Stéph se crispa alors, elle déchira sa chemise en même temps que son dos ce qui eut pour effet de le faire venir dans sa chatte dans un râle des plus bestial.
Il se retira d’elle et se releva alors qu’elle restait au sol, épuisée par la vague de jouissance qui venait de la traverser. Trempée de sueur dans sa robe bonne à mettre à la poubelle. Du sang coulait encore un peu depuis son téton et un long lien bien gluant reliait encore sa queue à sa chatte.
Il partit sans un mot vers la salle de bain, la laissant seule sur le sol, cherchant à retrouver son souffle. Elle se releva tout de même bien vite, laissa sa robe devenue chiffon sur place et se dirigea elle aussi vers la salle de bain où elle trouva un Paul cherchant à se mettre de la pommade sur ses griffures.
Stéphanie lui prit le pot des mains et s’occupa d’en recouvrir les plaies de Paul après s’en être rapidement étalé sur le téton. Ils ne se parlaient pas, ils avaient toujours du mal à engager la conversation après avoir succombé à un peu de violence.
S’en était presque devenu un rituel, ils se soignaient et la pommade ferait en sorte que ça cicatrise rapidement, sauf s’il leur prenait de recommencer.
Stéphanie se colla contre son dos et caressa son torse. Elle l’embrassait dans le cou tout en descendant ses mains. En arrivant sur son sexe, elle le trouva déjà dur et dressé. Elle attrapa la grosse verge bien dure d’une main et les couilles de l’autre, massant et serrant. Elle commença à le masturber.
– T’en as jamais assez hein ? Ca tombe bien parce que j’ai quelque chose à te proposer. Ca s’appelle le jeu des douze.
– Un truc que t’as inventé ?
– Quelle importance ?
– Bah le nom serait mieux…
– C’est tout ce que j’ai trouvé alors tu te tais, te laisse branler et m’écoute !!!!
Elle lui pressa les couilles un peu plus fort ce qui le fit grimacer un peu.
– C’est pour s’occuper, le but s’est que tu en baises douze à la suite, douze que je te pointerai du doigt, n’importe quand, n’importe où. Douze épreuves si tu veux. Avec ou sans moi. Avec ou sans condition. A chaque fois plus salace. Si tu refuses ou échoues, je sors de ta vie à jamais.
– Tu déconnes, dit-il en se retournant violemment et débandant en partie.
– Mais si, tu réussis, je deviens ta pute. Alors ?
– Tu te doutes bien que je vais accepter.
– Tant mieux, parce que ta première épreuve arrive dans une demi-heure, lui répondit-elle en s’agenouillant et prenant sa queue en bouche.

Proposée par Stycx

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