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Les courses

Un homme se laisse entrainer par sa copine. Entrainé un peu n’importe où, pour son plus grand plaisir.

Comment est-ce qu’elle est a réussi à me convaincre déjà ??? Ah oui, elle avait ma queue en mains, se salive qui coulait dessus, alors forcément ça aide. Et puis, une fois que j’avais dit oui, elle n’a pas attendu que l’excitation tombe, elle était déjà en train de me le mettre ce plug. Bon j’avoue, la langue sur la rondelle et le premier doigt pour me préparer, j’ai plutôt apprécié. Une toute nouvelle sensation qui se transmettait dans ma bite, j’avais l’impression que j’allais jouir à tout moment et… Non, ça durait encore et encore. Par contre, quant elle a commencé à presser le plus contre mon trou, j’ai eu l’impression qu’on me déchirai que ça ne rentrerai jamais. Pourtant… Une fois dedans, ça y était et ce n’était pas près de sortir.
« Et tu le gardes toute le reste de la journée mon chéri. »
Bon j’avais de la chance j’étais allé me soulager quelques temps plus tôt donc j’avais pas de risques de ce côté là. Le problème c’est qu’on devait aller faire les courses et que, les sensations de douleur et de gène passées, ça me faisait plutôt bander qu’autre chose son plug dans le cul. Alors me déplacer normalement, la queue serrée dans le pantalon. A tel point que je mouvement me branlait plus qu’autre chose, c’était pas facile. Pourtant jusque là ça allait, j’arrivais à me contrôler, on avait fait les courses, on les avait rangé gentiment dans la voiture et c’est à ce moment là que Leanne s’est mise à être méchante.
« Bon, on va m’acheter de la lingerie maintenant »
La torture, vraiment, la torture. La voir se dandiner dans des sous-vêtements à chaque fois plus légers, plus provocants, j’en pouvais plus, c’était insoutenable. Et voir les autres clientes… Aujourd’hui semblait être le jour où tout les canons cherchaient de la lingerie et tout les boudins qui auraient pu me sauver se cachaient. Elle avait tout prévu la garce et c’est quant une vendeuse est vint lui parler que j’ai compris qu’elle avait VRAIMENT tout prévu. Elles semblaient se connaître depuis un bout de temps. Pourtant depuis les cinq mois que j’étais avec elle je n’en avait jamais entendu parler. La pelle qu’elles se roulèrent me renseigna un minimum sur le pourquoi.
« Salut, moi c’est Coralie. », me dit-elle en m’emballant à mon tour, « Allez viens dans l’arrière boutique qu’on te soulage un peu ».
Les quelques dix mètres à parcourir furent un véritable supplice. Une fois dans l’arrière boutique, Coralie ferma la porte à clés pendant que Léanne défaisait mon pantalon. Elle portait toujours la nuisette rouge transparent qu’elle avait essayé en dernier et qui tout en volant lui seyait parfaitement le corps. En me retirant mon caleçon, elle pu constater l’ampleur du désastre. Trempé, gluant, il faut croire que j’avais éjaculer sans m’en rendre compte. J’étais tellement dans un état second que tout avait pu se passer.
Léanne était furieuse. « Tu te permets de cracher comme ça ??? Sans prévenir ??? Ca ne va pas se passer comme ça… Lèches ! » Elle me tendait mon calcif d’un air d’autorité qui ne me donnait même pas l’occasion de la réplique. Mais je n’en avais aucune envie, ni aucune force. Je le portai à ma bouche, ça puait mais je n’en pris pas cas et lécha, pris le tissu en bouche et aspirais pour récupérer tout le sperme que je pouvais. C’était pas si dégeu au final, je me serai bien passer des poils et de l’humiliation qui allait avec l’acte mais la pelle que Léanne puis Coraline me roulèrent pour récupérer une partie de mon foutre compensa tout cela.
Je me fichu définitivement à poil pendant que Léanne enfilait un gode-ceinture et que Coralie se mettait plus confortable. Rousse, son corps était parfaitement sculpté. Des fesses bien rondes, une poitrine généreuse et ferme, et… Un chibre d’une taille monstrueuse entre les jambes, elle enfila rapidement une robe en cuire noir bien moulante par dessus le tout si bien que je ne pu en voir plus. Qui aurait cru que ce n’était pas une femme ? Je n’en revenais pas. J’avais également d’un coup l’impression d’être face à une caricature de la dominatrice mais pourtant, si cela était encore possible, je bandais encore un peu plus.
C’est à ce moment que Léanne décida de me faire écarter les jambes et pencher en avant.
Elle retira le plug d’un coup sec et… Que dire ?
J’ai joui, joui comme un porc. Éjaculer est un mot faible pour décrire ce qui s’est passé. J’ai tout simplement craché toute ma substance vitale, j’avais l’impression de cracher des litres de sperme à chaque giclées. Ma jouissance fut telle que j’en tombai à terre. Ce qui arrangea mes deux bourreaux qui me forcèrent à lécher.
Pendant que je m’occupais de nettoyer le sol, Léanne installe son gode dans mon trou encore béant. Ca rentre comme dans du beurre, ce qui la désappointa plutôt qu’autre chose. Furieuse et après avoir passé ses nerfs à coups de gifles sur mes fesses, elle changea tout bonnement de gode pour s’en munir d’un plus gros qui, cette fois-ci, eut du mal à rentrer. Je mentirai si je disais que je n’ai pas aimé. Me faire défoncer le cul par ma copine était tout simplement hyper bandant. Et pas que pour moi qui avait rapidement repris de la vigueur avec ce traitement. Coraline également. Sa queue sortait de dessous sa robe, volontairement courte pour pouvoir permettre ce genre de scènes plutôt excitante. Sa queue était vraiment énorme, un vrai gourdin. Elle l’approcha de moi alors que Léanne s’était allongée et me forçait à bouger moi-même le bassin. Je ne savais pas comment m’y prendre avec cet engin. Ma main ne paraissait pas à côté et, quand je n’arrivais tout bonnement pas à le prendre en bouche.
Léanne se releva. S’agenouilla à côté de moi et se mis alors à m’aider à lubrifier cet engin trop énorme pour être réel.
« Oh tu vas douiller mon chéri tu vas voir. Mais tu vas adorer. » Elle disais cela tout en continuant de m’astique le cul à l’aide de sa main. Car c’était bien sa main qui me visitait le fondement. Je sentais le long de ma verge couler du sperme en abondance, sans les à coups d’un jouissance normal, sans la perte de mon érection. C’était le pur bonheur et ce fut moi qui demandai à ce que Coralie me prenne le cul.
« Défonce moi salope. »
A genoux au sol, la tête dans les mains de Léanne qui me fixait les yeux dans les yeux, le chibre de Coralie fit son entrée, doucement, lentement, sans à coups mais avec détermination. La douleur fut intense. Le plaisir également. Je ne crois pas qu’elle put rentrer en profondeur mais elle rentra suffisamment pour me dérouiller comme il se devait. Comment un femme avec un corps si svelte et fragile pouvait-elle posséder une queue et une bestialité pareille ?
Léanne voulant sa part du gâteau passa sous moi afin que, tout en me faisant prendre le cul, je puisse lui prendre la chatte. Je n’avais pas besoin de bouger, elle n’avait pas besoin non plus, les coups de boutoirs de Coralie nous suffisaient.
La délivrance ne tarda et alors que je remplissais ma Léanne, c’était également mon cul qui se remplissait de substance blanchâtre qui dégoulinait de mon cul, le long de mes jambes.
Exténué je ne pu m’empêcher pourtant de me retourner vers ce chibre et de le prendre en main et de lécher le peu de sperme qui lui restait tout en goutant mon cul. Je voulais l’empêcher de ramollir et je réussis. Je branlai alors la pauvre bougre, fatiguée au point qu’elle était passive, allongée au sol, pendant qu’elle jouit une seconde fois en plein dans ma bouche.
La bouche pleine et débordante, je rejoignis Léanne pour le partager avec elle et c’est ainsi que nous nous assoupirent. Les bouches collées et pleines de sperme, pour nous réveiller un peu plus tard, plus amoureux que jamais et moi, même prêt à découvrir encore plus.

Proposée par Stycx

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